Démasquons l'imposture des fascistes !
Publié le 22 Décembre 2017
Nous relayons la déclaration de nos camarades Jeunes Communistes Lyon (22 décembre 2017) :
Démasquons l'imposture des fascistes !
Depuis quelques mois l’ouverture de locaux néonazis à travers la France est un phénomène inquiétant et qui révèle l’hypocrisie des pouvoirs publics. En se cachant derrière une couverture « caritative », des fascistes, unifiés dans un nouveau groupuscule autoproclamé «Bastion social», prétendent remédier à la précarité, au mal-logement, à la misère, causée selon eux par l’arrivée de réfugiés-migrants en France. Ils prétendent ainsi aider « les français les plus démunis », afin de mieux propager leur idéologie raciste et xénophobe, notamment sur les réseaux sociaux.
Nous le disons très clairement : le Bastion social est un groupuscule nazi, ses adhérents sont des ennemis du peuple et des travailleurs.
Leurs « actions » sont une tentative vicieuse de détournement de la misère, de récupération de la colère des travailleurs souffrant du chômage, de la précarité.
Chiens de garde du capitalisme, les fascistes forment la milice para-étatique de la bourgeoise, ils aident le pouvoir dans sa volonté de museler l’opposition sociale et divisent les travailleurs. Dangereux et violents autant que lâches, ils n’hésitent pas à attaquer en bande des individus « coupables » de ne pas avoir leur couleur de peau, d’être homosexuels ou d’être des militants révolutionnaires.
Les voyous du « Bastion social » ont prouvé par le passé que leur véritable maître se trouvait au ministère de l’Intérieur lorsqu’ils ont tenté sans succès d’aider la police en attaquant les cortèges de la CGT en 2016 lors du mouvement contre la loi Travail.
Nous rappelons que le Bastion social est proche du parti grec nazi Aube Dorée contre lequel nos frères et sœurs du Parti Communiste de Grèce luttent avec acharnement.
La montée des mouvements fascistes en Europe et dans le monde prouve que la lutte des classes s’exacerbe, les capitalistes n’hésitant plus à financer et équiper les néo-nazis pour garder leur profit en période de crise. C’est déjà le cas en Hongrie et surtout en Ukraine où les fascistes sont au pouvoir et répriment dans le sang les syndicalistes, les opposants, les minorités, sous le regard bienveillant de l’Union Européenne et l’appui logistique de l’OTAN.
Nous sommes les fils et les filles du peuple, de la classe ouvrière et de son parti : le PCF. Nous sommes les héritiers de la Résistance contre Pétain et Hitler. Face à l’extrême-droite, notre riposte antifasciste doit être unitaire et de classe. Nous devons pointer du doigt les véritables coupables de la misère dans notre pays : les capitalistes.
Ils disent que la France n'est pas aux français, qu'elle est pillée par les étrangers. En plus d’être des racistes et des réactionnaires ce sont des menteurs et des collaborateurs de classe qui couvrent les véritables coupables. Car en effet, la France n'est pas aux français ou plutôt, n'est pas à son peuple, à celles et ceux, d’où qu’ils viennent, qui travaillent dans ses usines, dans ses champs, dans ses entreprises. Elle n’est pas à nous car elle est aux monopoles, à ceux qui la pillent et exploitent ses travailleurs.
Les gigantesques entreprises capitalistes exploitent les travailleurs, pillent nos richesses, cassent nos services publics, délocalisent nos usines. Ce sont les patrons qui déclenchent les guerres dans les pays d’Afrique et du Moyen-Orient, poussant des centaines de milliers de travailleurs sur les routes de l’exil. Les nazis prétendent défendre « les nôtres avant les autres » mais ils ne défendent personne d’autre que les bourgeois.
Les actions de solidarité et de fraternité envers les travailleurs les plus démunis, les foyers les plus précaires, sont portées depuis de plus d'un siècle et demi par des associations du peuple comme le Secours Populaire et tant d'autres qui, sans fanfaronner, sont les véritables panseurs des lésions infligés aux masses par la société de classe.
Nos sentiments fraternels et solidaires ne connaissent pas de frontières. Pour lutter contre le chômage, la misère, l’exploitation, nous disons qu’il faut s’organiser contre les capitalistes et leurs miliciens. Nous disons qu’il ne faut pas plier devant les patrons, qu’il faut s’organiser, rejoindre les rangs de la CGT, de la Jeunesse Communiste pour mener la bataille finale contre l’exploitation capitaliste !
Depuis quelques mois l’ouverture de locaux néonazis à travers la France est un phénomène inquiétant et qui révèle l’hypocrisie des pouvoirs publics. En se cachant derrière une couverture « caritative », des fascistes, unifiés dans un nouveau groupuscule autoproclamé «Bastion social», prétendent remédier à la précarité, au mal-logement, à la misère, causée selon eux par l’arrivée de réfugiés-migrants en France. Ils prétendent ainsi aider « les français les plus démunis », afin de mieux propager leur idéologie raciste et xénophobe, notamment sur les réseaux sociaux.
Nous le disons très clairement : le Bastion social est un groupuscule nazi, ses adhérents sont des ennemis du peuple et des travailleurs.
Leurs « actions » sont une tentative vicieuse de détournement de la misère, de récupération de la colère des travailleurs souffrant du chômage, de la précarité.
Chiens de garde du capitalisme, les fascistes forment la milice para-étatique de la bourgeoise, ils aident le pouvoir dans sa volonté de museler l’opposition sociale et divisent les travailleurs. Dangereux et violents autant que lâches, ils n’hésitent pas à attaquer en bande des individus « coupables » de ne pas avoir leur couleur de peau, d’être homosexuels ou d’être des militants révolutionnaires.
Les voyous du « Bastion social » ont prouvé par le passé que leur véritable maître se trouvait au ministère de l’Intérieur lorsqu’ils ont tenté sans succès d’aider la police en attaquant les cortèges de la CGT en 2016 lors du mouvement contre la loi Travail.
Nous rappelons que le Bastion social est proche du parti grec nazi Aube Dorée contre lequel nos frères et sœurs du Parti Communiste de Grèce luttent avec acharnement.
La montée des mouvements fascistes en Europe et dans le monde prouve que la lutte des classes s’exacerbe, les capitalistes n’hésitant plus à financer et équiper les néo-nazis pour garder leur profit en période de crise. C’est déjà le cas en Hongrie et surtout en Ukraine où les fascistes sont au pouvoir et répriment dans le sang les syndicalistes, les opposants, les minorités, sous le regard bienveillant de l’Union Européenne et l’appui logistique de l’OTAN.
Nous sommes les fils et les filles du peuple, de la classe ouvrière et de son parti : le PCF. Nous sommes les héritiers de la Résistance contre Pétain et Hitler. Face à l’extrême-droite, notre riposte antifasciste doit être unitaire et de classe. Nous devons pointer du doigt les véritables coupables de la misère dans notre pays : les capitalistes.
Ils disent que la France n'est pas aux français, qu'elle est pillée par les étrangers. En plus d’être des racistes et des réactionnaires ce sont des menteurs et des collaborateurs de classe qui couvrent les véritables coupables. Car en effet, la France n'est pas aux français ou plutôt, n'est pas à son peuple, à celles et ceux, d’où qu’ils viennent, qui travaillent dans ses usines, dans ses champs, dans ses entreprises. Elle n’est pas à nous car elle est aux monopoles, à ceux qui la pillent et exploitent ses travailleurs.
Les gigantesques entreprises capitalistes exploitent les travailleurs, pillent nos richesses, cassent nos services publics, délocalisent nos usines. Ce sont les patrons qui déclenchent les guerres dans les pays d’Afrique et du Moyen-Orient, poussant des centaines de milliers de travailleurs sur les routes de l’exil. Les nazis prétendent défendre « les nôtres avant les autres » mais ils ne défendent personne d’autre que les bourgeois.
Les actions de solidarité et de fraternité envers les travailleurs les plus démunis, les foyers les plus précaires, sont portées depuis de plus d'un siècle et demi par des associations du peuple comme le Secours Populaire et tant d'autres qui, sans fanfaronner, sont les véritables panseurs des lésions infligés aux masses par la société de classe.
Nos sentiments fraternels et solidaires ne connaissent pas de frontières. Pour lutter contre le chômage, la misère, l’exploitation, nous disons qu’il faut s’organiser contre les capitalistes et leurs miliciens. Nous disons qu’il ne faut pas plier devant les patrons, qu’il faut s’organiser, rejoindre les rangs de la CGT, de la Jeunesse Communiste pour mener la bataille finale contre l’exploitation capitaliste !