#NousNePaieronsPas le prix des mesures anti-populaires du gouvernement ni la crise dans laquelle nous entraînent les capitalistes

Publié le 13 Avril 2020

#NousNePaieronsPas le prix des mesures anti-populaires du gouvernement ni la crise dans laquelle nous entraînent les capitalistes
#NousNePaieronsPas le prix des mesures anti-populaires du gouvernement ni la crise dans laquelle nous entraînent les capitalistes
#NousNePaieronsPas le prix des mesures anti-populaires du gouvernement ni la crise dans laquelle nous entraînent les capitalistes
#NousNePaieronsPas le prix des mesures anti-populaires du gouvernement ni la crise dans laquelle nous entraînent les capitalistes
#NousNePaieronsPas le prix des mesures anti-populaires du gouvernement ni la crise dans laquelle nous entraînent les capitalistes
#NousNePaieronsPas le prix des mesures anti-populaires du gouvernement ni la crise dans laquelle nous entraînent les capitalistes
#NousNePaieronsPas le prix des mesures anti-populaires du gouvernement ni la crise dans laquelle nous entraînent les capitalistes
Alors que le président fait sa nouvelle allocution dans le cadre des mesures de confinement, il est nécessaire pour tous les travailleurs de s'insurger contre l'hypocrisie de ce gouvernement criminel.
Nous le répétons : pendant cette épidémie que l'on veut faire passer pour une crise purement sanitaire, c'est bien la lutte des classes qui s'exprime dans tout ce qu'elle a de plus violent.
Fidèle à sa ligne de classe, le gouvernement bourgeois, à grande force d'un sentimentalisme misérabiliste et agitant les fanions délavés d'unité nationale hypocrite, compte bien faire payer aux travailleurs seuls tout le poids de cette crise largement préparée par des décennies de réformes réactionnaires, de destruction de la sécurité sociale, de destruction de l'hôpital public, de destruction du code du travail, de destruction du réseau de médecins sur tout le territoire...
Pour les exploiteurs qui forcent le travailleur à mettre sa vie en danger pour assurer ses profits : 300 milliards d'argent public offert au capital, des allègements de "charges", bref, de l'argent avancé par l'État que les travailleurs devront payer.
Pour les travailleurs, outre les mots et les formules floues pleines d'une bienveillance de façade, la journée de travail de 12h, la semaine de 60h, la perte des congés, des repos, le sacrifice toujours plus exigeant en sueur, en larmes et en sang !
Refusons cette double peine !

#NousNePaieronsPas cette crise du capitalisme ! Travailleurs, sans nous, rien ne tourne, arrêtons la machine infernale de l'exploitation capitaliste, le pouvoir nous revient ! Tous en grève, tous dans la lutte !
Pour une société où ceux qui produisent sont ceux qui décident, pour le travail, la dignité, la paix, la liberté, pour le socialisme-communisme : organise ta colère !

Jeunes Communistes du Bas-Rhin
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